vendredi 12 octobre 2012

La gardeuse d’oies

©Rudowski/ESIAJ 2012
















Il y avait dans la ville une porte très grande et pleine d’ombre qu’elle devait franchir matin et soir avec ses oies. Elle pria l’écorcheur d’y clouer la tête de Falada afin qu’elle puisse le voir une fois encore. L’homme fit la promesse, emporta la tête et la cloua sous la sombre porte.

— Extrait de « La gardeuse d’oies », Jacob et Wilhelm Grimm, 1815 —


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Écrivez votre mensonge !