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Peignez-moi, oh ! Peignez-moi, cela me guérira; il faut qu’on me peigne. Regardez ma tête… Comme je souffre; et mes cheveux comme ils me font mal ! Ses cheveux dénoués, très longs, très noirs, me semblait-il, pendaient par-dessus le dossier du fauteuil et touchaient la terre.
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